Angry farmers shuffle with French plainclothes police officers, as French President tours the exhibition on the opening day of the 60th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture), at the Porte de Versailles exhibition centre, in Paris, on February 24, 2024. French and Polish farmers led a new surge of agricultural anger in Europe on February 23, 2024, taking tractors into major cities and blocking roads to demand lighter regulation and taxation.
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La première journée du 60e Salon de l’agriculture, samedi 24 février 2024, a été émaillée par de violents affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a signalé six interpellations ce même jour, dont trois pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, qui seront convoquées ultérieurement par la justice pour répondre de leurs actes. Le chef de la police parisienne a expliqué que suite aux incidents, l’accès au hall 4 du Parc des Expositions avait été interdit à « 300 militants de la Coordination rurale » pour éviter tout contact avec le président Macron. Il a dit assumer « totalement » cette décision qui, selon lui, visait avant tout à assurer la sécurité du chef de l’État, soulignant le caractère « extrêmement tendu » de la situation. Alors qu’Emmanuel Macron se rendait porte de Versailles à l’aube pour échanger avec les principaux syndicats agricoles, à huis clos, des manifestants sont entrés dans l’infrastructure en forçant une grille. De longues heures, sous tension, ont ensuite suivi pour le chef de l’État qui a multiplié les prises de parole. Source
Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
Protesters wearing a yellow vest gather in front of "La Grande Arche de la Defense" (The Great Arc of the Defense), west of Paris, on April 6, 2019 during a demonstration by the 'Yellow Vests' (gilets jaunes) movement on the 21st consecutive Saturday. France has been rocked by months of weekly Saturday protests by the yellow vests, which emerged over fuel taxes before snowballing into a broad revolt against the French President.
Prise de vue: Samedi 6 avril 2019, à 16 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national. À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune. En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
Yellow Vest protesters gather in front of the Sacre Coeur Basilica in Montmartre, in Paris on March 23, 2019, during an anti-government demonstration called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) movement. Demonstrators hit French city streets again on March 23, for a 19th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 23 mars 2019, à 15 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
En ce 19e samedi de mobilisation des gilets jaunes, des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Paris entre Denfert-Rochereau et Montmartre, le 23 mars 2019. Les autorités ont compté 5.000 manifestants, partis en début d’après-midi pour arriver un peu avant 16 heures au pied de l’édifice. Deux heures après la fin de cette manifestation, un cortège est reparti vers le centre de Paris. Pour les disperser, les forces de l’ordre ont tiré des grenades lacrymogènes, près du quartier de la République. Il y a eu également des feux de poubelles et une devanture de banque vandalisée.
Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters take part in a Yellow vest (gilets jaunes) anti-government demonstration on February 16, 2019 in Paris. Demonstrators hit French city streets again on February 16, for a 14th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." The new day of protests marks three months of "yellow vest" protests as a poll now suggests that most of the country wants them to stop.
Prise de vue: Samedi 16 février 209, à 14 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/9, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 234 mots. Pour les trois mois du mouvement « gilets jaunes », 41.500 personnes ont défilé ce samedi 16 février 2019 dans les rues de Paris et de plusieurs autres villes de France. Dès la fin de matinée, sous un beau ciel bleu et un soleil resplendissant, on a vu de nombreux manifestants à Paris descendre l’avenue des Champs-Élysées depuis le rond-point de l’Étoile, en direction de l’Assemblée nationale. Ils ont déambulé ensuite boulevard Saint-Michel avant de rejoindre le secteur des Invalides. Le rassemblement, placé sous haute surveillance des forces de l’ordre, se déroulait dans une ambiance bon enfant, malgré des sifflets, des fumigènes et des chants hostiles. En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées. Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
French riot police holding a protective shield are covered in green paint during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement in Paris, on January 12, 2019. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests on January 12, 2019 across the country with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 15:08:43. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 221 mots. À trois jours du début du grand débat national censé apaiser leur colère, environ 84.000 Gilets jaunes étaient de nouveau dans les rues samedi 12 janvier 2019 partout en France pour l’acte 9 de la contestation, notamment à Paris et à Bourges, mais également en région. Le gouvernement avait durci le ton en annonçant qu’à « l’ultra-violence » il opposerait « l’ultra-fermeté » et le préfet de police de Paris redoutait « plus de radicalité ». Partis du ministère des Finances, à Bercy, en fin de matinée, ils commençaient à se disperser vers 17 h place de l’Étoile, en haut des Champs-Elysées. Sous le mot d’ordre « On va faire les soldes à Paris ! », cette manifestation a été relayée notamment par Eric Drouet, l’une des figures du mouvement. Des heurts ont eu lieu près de l’Arc de Triomphe et sur l’avenue de Friedland. Au total, 156 personnes ont été interpellées à Paris depuis samedi matin, notamment pour port d’arme prohibée ou participation à un groupement en vue de commettre des violences. Un fort dispositif policier était en outre déployé place de l’Etoile avec la présence de quatre véhicules blindés à roues de la gendarmerie. La préfecture de police de Paris précise toutefois qu’aucune dégradation n’a été commise sur le parcours du cortège. Source : www.lejdd.fr, lien à la fin de l’article complet.
A man and a woman wearing the Phrygian cap of the French Republic are kissing in front of anti-riot gendarmes in Paris, on January 12, 2019 during an anti-government demonstration called by the Yellow Vest "Gilets Jaunes" movement. France braced for a fresh round of "yellow vest" protests across the country on with the authorities vowing zero tolerance for violence after weekly scenes of rioting and vandalism in Paris and other cities over the past two months.
Prise de vue: Samedi 12 janvier 2019, 12:41:33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -2/3. Flash: non
Alors que les Gilets jaunes partis de Bercy ralliaient les Champs-Élysées en passant par la rue de Rivoli, un homme et une femme portant un bonnet phygien ont échangé un baiser devant les forces de l’ordre qui barraient la rue aux manifestants, rééditant la célèbre photo de Robert Doisneau prise devant l’Hôtel de Ville de Paris, presque au même endroit, 68 ans auparavant.
Demonstrators face riot police officers during a demonstration called by several trade unions to disrup the inauguration by the French President Emmanuel Macron of a new handball stadium in Creteil, on the outskirts of Paris on January 9, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/9, ISO 3200, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 157 mots. Le chef de l’État a vu sa première sortie de l’année 2019 quelque peu mouvementée. Emmanuel Macron devait inaugurer la Maison du Handball à Créteil, dans le Val-de-Marne ce mercredi 9 janvier 2019. Sa visite a été marquée par la présence de manifestants hostiles à sa venue, entraînant des heurts avec les forces de l’ordre. Un vaste périmètre de sécurité avait été mis en place autour de la Maison du handball, et la centaine de manifestants était cantonnée à environ 900 mètres. « Police nationale, milice du capital » ou « Macron t’es foutu, les travailleurs sont dans la rue », ont scandé les manifestants. Cette visite intervient à trois jours de l' « acte IX » des gilets jaunes et alors que le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé lundi une nouvelle loi « anticasseurs » avec un fichier s’inspirant des lois anti-hooligans et un durcissement des sanctions contre les casseurs et les manifestations non déclarées ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
Protesters are blocked by the anti-riot police in the Avenue des Champs Elysées with the Arc de Triomphe on the background during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement, to protest against the rising costs of living they blame on high taxes, in Paris, on December 29, 2018. The yellow vests (gilets jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 4000, Compensation: -1/3. Flash: non
EXTRAIT : 215 mots Après un « acte VI » qui a peu mobilisé et au milieu des fêtes de fin d’année, le septième week-end de mobilisation des gilets jaunes a démarré timidement ce samedi 29 décembre 2018 alors que des rassemblements étaient organisés à Paris, Marseille, Lyon, Metz, Rouen, Nantes, Toulouse ou encore Bordeaux. Environ 12.000 gilets jaunes ont été recensés, selon les informations de LCI. La préfecture de police de Paris a dénombré 800 manifestants dans la capitale, à 18 heures. Le mouvement, qui dure depuis un mois et demi, a largement décru ces dernières semaines. (…) Mais pour une grande partie du mouvement, cette baisse est due aux fêtes avant une reprise très forte en janvier. À Paris, des centaines de gilets jaunes se sont rassemblés à la mi-journée devant le siège de BFMTV pour dénoncer le traitement de leur mouvement par la chaîne d’information en continu. Certains manifestants ont lancé des projectiles. Ils se sont ensuite dirigés vers le siège de France télévisions. Les tensions se sont poursuivies l’après-midi dans le XVe arrondissement. Comme dans d’autres villes, les gilets jaunes avaient choisi de ne pas dévoiler à l’avance leur action pour surprendre les forces de l’ordre notamment. (…) En fin de journée, des tensions étaient signalées place du Trocadéro. (source : www.huffingtonpost.fr)
A protestor, dressed in a yellow overall, stands near the Chateau de Versailles (Palace of Versailles) in Versailles, outside Paris, ahead of a "Yellow Vest" (gilet jaune) demonstration, on December 22, 2018. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1250 sec, f/9, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
À trois jours de Noël et après des annonces du gouvernement, les gilets jaunes comptaient de nouveau mobiliser leurs troupes. Ils avaient donc prévu de se réunir ce 22 décembre 2018 dans toute la France pour un sixième samedi consécutif de manifestations, alors que la fronde a nettement marqué le pas. À Versailles, juste en face du château visité par des millions de personnes chaque année, les autorités attendaient « plusieurs centaines » voire « un millier » de gilets jaunes prêts à faire entendre leurs revendications liées pour beaucoup au pouvoir d’achat, selon le préfet des Yvelines, Jean-Jacques Brot. Le directeur de cabinet du préfet Thierry Laurent avait avancé vendredi les chiffres de 1400 personnes déclarées « participantes » et 8000 « intéressées » par l’événement Facebook, organisé entre autres par Eric Drouet, l’une des figures du mouvement. Par crainte de débordements, le domaine et le château de Versailles avaient même été fermés « de manière préventive ». En milieu de matinée pourtant, pas de grand rassemblement devant le château. Une vingtaine de gilets jaunes sont arrivés sur l’avenue de Paris, au milieu d’un important dispositif policier. L’un d’eux a expliqué à l’AFP qu’il était là « pour dénoncer les privilèges de certains ». Malgré les contrôles des forces de l’ordre, les passants ont pu faire leurs courses normalement, les commerces ayant ouvert. Source.
French policemen demonstrate on the Champs Elysées avenue on December 20, 2018 in Paris to the call of MPC (Mouvement of Angry Policemen) for the improvement of their working conditions. After more than one month monitoring Yellow Vest protests, French police officers who were already feeling overworked, say they have had enough. After several hours of negotiations between France's Interior Minister Christophe Castaner and France's three main police unions, an agreement was finally reached regarding officers' salaries. The French government has agreed to hike police wages and pay the 23 million hours in overtime they are owed after officers held talks with ministers after a day of protest to fight for better pay and working conditions.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: 135mm f/2L USM; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/100 sec, f/2, ISO 6400, Compensation: -5/3. Flash: non
EXTRAIT : 283 mots Alors que plusieurs syndicats de police ont déjà appelé les forces de l’ordre à une mobilisation nationale pour exprimer leur colère, le mouvement baptisé « les gyros bleus » prévoyait, lui, un rassemblement le jeudi 20 décembre 2018 à Paris. Le rendez-vous était donné à 21 h 30 devant le commissariat de police situé place Clemenceau, dans le 8e arrondissement de la capitale. Objectif : se faire entendre auprès du gouvernement et dénoncer le manque de reconnaissance des membres des forces de l’ordre, leur faible pouvoir d’achat et leurs « conditions de travail catastrophiques ». L’idée du rassemblement du 20 décembre est partie d’une page Facebook intitulée « le gyro bleu ». Apparue début décembre, celle-ci a été mystérieusement supprimée depuis du réseau social. Entre temps, une page « les gyros bleus » a été ouverte. Dans les faits, les policiers n’ont pas le droit de se mettre en grève. Ils sont autorisés à manifester et à s’exprimer, mais de façon très encadrée. Ils doivent suivre les mêmes règles que tout le monde : déclarer la manifestation auprès de la préfecture et préciser la date, l’heure, le parcours… Des impératifs ignorés par les « gyros bleus » à l’origine de l’appel du 20 décembre. D’autant que les sanctions sont parfois tranchées de manière opaque, jugent certains syndicats. Et il n’y a pas que les sanctions. (…) Après avoir fait parler d’eux, en 2016, avec des manifestations non autorisées de policiers, les responsables de l’association Mobilisation des policiers en colère ont ainsi été entendus à plusieurs reprises par l’IGPN, la police des polices. Guillaume Lebeau, par exemple, a été auditionné à trois reprises. Source.
Riot police stand next to protestors near the Champs-Elysees avenue in Paris on December 8, 2018 during a "yellow vest" (gilet jaune) protest against rising costs of living they blame on high taxes. Paris was on high alert on December 8 with major security measures in place ahead of fresh "yellow vest" protests which authorities fear could turn violent for a second weekend in a row.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/6.3, ISO 1000, Compensation: -5/3. Flash: non
Extrait : 393 mots. La multiplication des interpellations préventives a permis, samedi, aux forces de l’ordre de garder le contrôle des rassemblements à Paris, malgré des casses en fin de journée. Quelques jets de lacrymogènes par-ci. Des insultes ou des « Macron démission » scandés par là. Mais aucune violence comparable à celle du 1er décembre. Samedi 8 décembre 2018 au matin, aux Champs-Elysées, les premières images des Gilets jaunes contrastent avec les scènes de guérilla urbaine de la semaine passée. Et pourtant, le compteur des interpellations ne cesse de s’affoler à Paris. Affichant 121 à 7 h 30, il dépasse le niveau de la précédente manifestation dès midi ! Pour atteindre le nombre de 1000 en fin de journée. « Un point d’arrêt a été mis à l’escalade de la violence », s’est réjoui Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur. Tel est le résultat de la nouvelle stratégie policière : multiplier les contrôles en amont sur la voie publique, dans les gares et aux péages à l’arrivée des Gilets jaunes à Paris, fouiller leurs véhicules et leurs sacs… Ces vérifications massives, lancées au hasard et autorisées sur réquisitions judiciaires, ont permis d’écarter des manifestants virulents et saisir les objets pouvant servir de projectiles contre les forces de l’ordre ou à commettre de la casse. (…) Pour autant, ces coups de filets n’ont-ils pas ratissé trop large ? « Au milieu de cela, les policiers ont aussi interpellé des profils qui ne correspondent en rien à celui des casseurs. Et cela leur donne encore plus le sentiment qu’on veut les faire taire », note Me Sahand Saber, avocat qui a assisté samedi en garde à vue un employé des pompes funèbres de Périgueux. Inconnu de la police, son client a été interpellé dès 8 h 30 du matin avec ses amis après un contrôle routier : un fumigène et du matériel de secourisme ont été saisis dans son véhicule. Parmi les centaines d’anonymes figure un illustre militant d’extrême gauche : Julien Coupat, acteur principal du dossier Tarnac. Il a été interpellé par la DGSI puis remis aux policiers parisiens après la découverte d’un gilet jaune dans sa voiture et du matériel à peinture. Pour chaque gardé à vue, les enquêteurs vont devoir étayer les soupçons de projets d’actions violentes. Un défi : le nombre de défèrement devant la justice sera un indicateur de la légitimité des interpellations. Source
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Clashes between demonstrators and riot police in front of the Arc de Triomphe during a protest of Yellow vests (Gilets jaunes) against rising oil prices and living costs, in Paris, on December 1, 2018. Thousands of anti-government protesters are expected on December 1, 2018 on the Champs-Elysees in Paris, a week after a violent demonstration on the famed avenue was marked by burning barricades and rampant vandalism that French President compared to "war scenes".
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 297 mots. L’Arc de Triomphe plongé sous un nuage de lacrymogène, au milieu des jets de projectiles : à Paris, des centaines de « gilets jaunes » étaient aux prises samedi 1er décembre 2018 avec les forces de l’ordre, à la peine pour les canaliser. C’est en haut des Champs-Élysées, sur le rond-point de l’Étoile, que les premiers heurts ont d’ailleurs éclaté vers 8H45 quand des manifestants ont, selon une source policière, tenté de forcer un barrage. Les forces de l’ordre ont alors répliqué par des tirs de lacrymogène et des camions à eau. Quelques heures plus tard, c’est toujours autour de l’Arc de Triomphe que les échauffourées étaient les plus violentes.(…) Autour de la flamme du soldat inconnu, qui repose sous l’arc de Triomphe, des manifestants casqués et encagoulés ont entonné la Marseillaise, dans un climat extrêmement tendu. (…) Une banderole « Gaulois réfractaires » a été tendue près du monument, en référence à l’expression utilisée par le chef de l’État Emmanuel Macron pour évoquer la supposée réticence des Français face aux réformes. Un tag « les gilets jaunes triompheront » a également été peint au pied de l’Arc de triomphe. Autour du monument, des manifestants ont lancé des pavés sur des camions de gendarmes mobiles lancés à pleine vitesse avenue de la Grande armée où presque tous les commerces étaient fermés. Aux alentours de midi, le rondpoint de l’Étoile avait été évacué et était bloqué par un double cordon policier, repoussant les manifestants les plus virulents vers les avenues adjacentes où des barricades de fortune étaient dressées, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ces heurts ont également repoussé au loin les manifestants qui avaient choisi de se rassembler pacifiquement pour faire entendre leur colère sur le pouvoir d’achat. (…)
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III: 165 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 250, Compensation: -1. Flash: non
L’Arc de Triomphe, monument emblématique de Paris, dont la construction a débuté sous Napoléon et qui abrite la tombe du Soldat inconnu a été tagué ce samedi 1er décembre 2018, en marge du rassemblement des Gilets jaunes. « Les Gilets jaunes triompheront », est-il inscrit. Le Premier ministre Édouard Philippe s’est dit « choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France. […] Par le fait que l’Arc de Triomphe ait été tagué. Le fait qu’autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu ».
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The face of a demonstrator is injured during a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/5.6, ISO 800. Flash: non
Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
Anti-riot policemen in front of protestors during a demonstration on the sidelines of a march for the annual May Day workers’ rally in Paris on May 1, 2018. Police in Paris have used water cannons to break up a tumultuous rally amid May Day demonstrations as masked protesters have been throwing smoke bombs and setting vehicles on fire in the French capital.
EXTRAIT : 178 mots. En ce 1er-Mai 2018, les syndicats ont défilé en ordre dispersé. Les manifestations ont réuni 143 500 personnes en France selon le ministère de l’Intérieur et 210 000 personnes, selon la CGT. Partie vers 15 h, la manifestation parisienne a très rapidement changé de tournure, bloquée par quelque « 1 200 black blocs » recensés par la préfecture de police, sur les 14 500 personnes venues hors cortège syndical, une configuration inédite selon une source proche du dossier. Face aux affrontements et dégradations, les forces de l’ordre ont riposté par des tirs de gaz lacrymogènes et deux lanceurs d’eau. De nombreuses dégradations ont été commises par les militants encagoulés. (…) Près de 200 « black blocs » ont été interpellés, selon la préfecture de police, qui a également mentionné six autres interpellations, pour port d’arme prohibé ou jets de projectiles. Le président de la République Emmanuel Macron a condamné, sur Twitter, « avec une absolue fermeté les violences » qui ont « dévoyé les cortèges du 1er mai ». (…) Le Premier ministre, Édouard Philippe, a également condamné dans un communiqué ces violences…